Senegal

Au Sénégal, les femmes et les fillettes en situation de handicap sont, tous les jours, confrontées à des violences physiques et sexuelles (sévices physiques, viols, mariages précoces et forcés, rejet ou viol par le conjoint,…) et des abus psychologiques (préjugés, mépris, insultes, rejet,…). Leur handicap les expose quotidiennement à des préjugés culturels qui prennent diverses formes, tout au long de leur vie. 

This book is a report on the prevalence of female circumcision and female genital mutilation (FC/FGM) and on the use of law and policy to address these practices. This work places FC/FGM firmly within a human rights and legal framework, although it does recognise and address the challenges inherent to this discourse. The authors look at the history of FC/FGM; its consequences for women’s health; the reasons used to justify it – i.e. culture, control over women’s sexuality, tradition, interpretation of religious directives; and the history of movement’s working to combat it.

En cette année où le Forum Social Mondial, pour la 3e fois après le Mali en 2006 et le Kenya en 2007, se joint aux peuples d’Afrique, nous les femmes de différentes parties du monde, réunies à Dakar, conscientes que l’union de nos forces pourra à terme apporter un changement, réaffirmons notre solidarité et notre admiration pour les luttes des femmes sénégalaises, des femmes africaines et des femmes du monde. Leurs luttes, conjointement avec les luttes de tous, hommes et femmes, renforcent la résistance menée partout contre le système capitaliste et patriarcal mondialisé.

Women’s inheritance and property rights (Panel 1) 

Countering the use of culture to dispossess women through the cultural legitimation of women's rights

8 Feb 2011: 12.30 – 15.30. 

The multi-country network on Women's Inheritance and Property Rights (WIPR) is organising three panels at the WSF. This network is part of the three-year programme Women Reclaiming and Re-defining Culture, coordinated by Women Living Under Muslim Laws (WLUML) and the Institute for Women’s Empowerment (IWE). 

Selon une étude de l’Ong Action Aid basée sur les faits relatés par des journaux sur les violences faites aux filles en milieu scolaire entre juillet, août et septembre 2010, le Sénégal est un exemple à ne pas suivre. En trois mois, la presse a rapporté trente-sept cas et deux cent deux cas entre juillet 2009 et septembre 2010. 

"Nous allons tout simplement au delà de la revendication qui est celle portant sur l'égalité des sexes, c´était hier ! Aujourd´hui, nous réclamons des compétences techniques et spécialisées à partir desquelles nous pourrons utiliser des outils efficaces pour amener la volonté politique dans la réalité de tous les secteurs en matière de genre." Citation de la déclaration par SE Madame Awa Ndiaye, Ministre d’Etat, Ministre du Genre et des Relations avec les Associations féminines Africaines et Etrangères - Dakar, Sénégal, 30 Novembre 2010.

“We are moving beyond simply asking for gender equality, that was then! We are now calling for technical and specialized skills to use effective tools in bringing the political will into reality across all sectors in terms of gender” - HE Mrs Awa Ndiaye, Minister of State for Gender and Relations with African and Foreign Women Associations. Dakar, Senegal, on Nov 30, 2010.

La sécurité des filles dépend de la volonté des familles à parler des violences sexuelles, ont dit des chercheurs en Casamance, dans le sud du Sénégal, lors de la publication d’une étude révélant l’étendue des violences à l’égard des filles âgées de 10 à 13 ans. Cette étude, réalisée par le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF) et l’université de Ziguinchor, a constaté qu’à Kolda, Sédhiou et Ziguinchor, les pressions familiales, sociales et culturelles étaient source de silence et d’impunité. 

Girls’ safety hinges on families’ willingness to speak out about sexual violence, researchers in Senegal’s southern Casamance region said at the release of a study that reveals widespread violence against girls aged 10 to 13. The study, by the UN Children’s Fund (UNICEF) and the University of Ziguinchor, found that in Kolda, Sédhiou and Ziguinchor, family, social and cultural pressures bred silence and impunity. 

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