[fund] promotion and application of religious laws

Deux femmes ont été flagellées en public vendredi pour avoir vendu de la nourriture durant les heures de jeûne du ramadan dans la province d'Aceh, bastion de l'islam en Indonésie, a-t-on appris de source policière.

We are writing to ask that the UN general assembly condemn stoning as a crime against humanity and issue an emergency resolution calling for an end to the medieval and barbaric punishment as well as the immediate release of Sakineh Mohammadi Ashtiani and others sentenced to death by stoning.

In the Name of Almighty. Your Excellency, With Salutations and Greetings, Peace, international and national security, social, economic, judicial and political stability and the privileges of a peaceful life, and even more importantly equality, fraternity and avoidance of violence, tyranny and oppression and other unjust discriminations can only become possible in the third millennium and come to a desirable conclusion worthy of proper human dignity, only if all the world leaders show determination and take steps in preserving human rights and human dignity and convince  the countries which abuse human rights to safeguard the inherent human dignity and grace.

Sakineh Mohammadi Ashtiani, the Iranian woman sentenced to death by stoning, was told on Saturday that she was to be hanged at dawn on Sunday, but the sentence was not carried out, it emerged tonight. Mohammadi Ashtiani wrote her will and embraced her cellmates in Tabriz prison just before the call to morning prayer, when she expected to be led to the gallows, her son Sajad told the Guardian. "Pressure from the international community has so far stopped them from carrying out the sentence but they're killing her every day by any means possible," he said.

Des centaines de personnes se sont données rendez-vous ce samedi, 28 aout sur la place du Trocadero, pour dire leur soutien total à Sakineh Mohammadi Ashtiani et pour crier leur colère contre cette pratique barbare qu'est la lapidation. 

Un homme qui déjeunait à la terrasse d’un restaurant du centre de Lyon a été agressé pour ne pas avoir respecté le ramadan. Il déjeunait à la terrasse d’un restaurant du centre de Lyon, le week-end du 15 août, quand trois jeunes se sont jetés sur lui parce qu’il ne respectait pas le jeûne du ramadan. Ce père de famille d’origine sénégalaise, habitant Vénissieux, a été frappé à la tête avec une bouteille en verre, puis à coups de chaise. Transportée en urgence à l’hôpital, avec une fracture à l’arrière du crâne, la victime a dû être trépanée. L’agression a été filmée par une caméra de vidéosurveillance, mais les images de mauvaise qualité ne permettent pas d’identifier les agresseurs. Le parquet de Lyon a ouvert une enquête préliminaire. Selon nos informations, le gérant du kebab, qui craint des représailles, pourrait témoigner sous X.

 À l’occasion de l’opération “100 villes pour Sakineh”, le Mouvement Ni Putes Ni Soumises, et la Ligue du Droit International des Femmes se mobilisent et organisent un rassemblement à Paris. Le même jour qu’à Berlin, New York, Madrid ou Tokyo, rassemblons nous pour nous opposer au traitement infligé à la jeune iranienne Sakineh, accusée d’adultère !

La Campagne mondiale «Arrêtons de tuer et de lapider les femmes» et le Réseau international de solidarité Femmes sous lois musulmanes (WLUML) condamnent les punitions violentes, commises récemment par les Talibans en Afghanistan. Dimanche dernier, les Talibans ont exécuté par lapidation un couple dans la vingtaine, dans un village contrôlé par leurs forces à Kunduz, dans le nord de l’Afghanistan. Ce couple s’était enfui au Pakistan pour se marier, même si l’on avait raconté qu'’ils avaient été fiancés à d’autres personnes. Peu de temps après, ils retournaient ensemble dans leur village de Mullah Qulli, dans la région de Archi au Kunduz. Certains rapports indiquent que leurs familles avaient accepté de les marier, tandis que d’autres affirment que le jirga avait décidé de leur pardonner, si l’homme s’acquittait d’une compensation. Les Talibans les arrêtèrent tous les deux pour crime d’adultère et les lapidèrent, dans un bazar de la quartier de Dasht-e Archi. Ce crime a été confirmé par le gouverneur de Kunduz, Mohammad Omar.

Meet Ramli Mansur, a 46-year-old leader of the Aceh Party, whose members are mostly drawn from the ranks of former combatants of the disbanded Free Aceh Movement. Ramli made headlines earlier this year by sponsoring a controversial Islamic bylaw that banned Muslim women from wearing tight pants. Aceh first implemented Shariah bylaws after gaining greater control over its judiciary and legislative process when former President Megawati Sukarnoputri’s administration granted the separatist province special autonomy in 2001. 

The Global Campaign to Stop Killing and Stoning Women and the Women Living Under Muslim Laws (WLUML) International Solidarity Network condemn the recent incidents of violent punishments by the Taliban in Afghanistan.   

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