Central Asia

Nous, liées par le réseau Femmes sous lois Musulmanes, sommes profondément préoccupées par l’arrestation de Madame Mahboobeh Abbasgholizadeh survenue le 1er novembre 2004 sur les ordres du procureur général de Téhéran, Mr Saeid Mortazavi (qui avait ordonne l’arrestation de la journaliste canadienne decedee en prison).
Sweeping and stringent measures introduced recently by Uzbekistan’s authoritarian government threaten, among other basic rights, the existence of the country’s independent progressive women’s non-governmental organisations (NGOs).
Most of these studies, including writings by this author, have adopted a broad historical, political, or sociological lens through which gender relations and the concerns of women of the region have been analyzed. In this article on Islamist women of Iran, however, I wish to adopt a somewhat different perspective. I am not looking at rank-and-file women who, willingly or not, acquiesced to the Islamist movement after the 1979 Revolution.
A travers l’histoire, le rôle primordial de la femme dans la société a été considéré comme étant celui d’enfanter et d’élever son enfant. Cela a été également l’argument principal entre les mains de la société patriarcale pour contrôler les femmes et supprimer leur demande pour l’égalité des droits. Les progrès de la science et de la technologie ont dans une certaine mesure, donné l’occasion aux femmes, de pouvoir contrôler leur capacité de «reproduction». Seulement, les méthodes actuelles de contraception ne sont ni satisfaisantes, ni accessibles à toutes les femmes.
“Les femmes perses avaient effectué un grand bond et étaient presque devenues, depuis 1907, les plus progressistes sinon les plus radicales au monde. Qu’une telle déclaration aille à l’encontre des idées du siècle n’y change rien. Tels sont les faits ...
La religion est à la fois un problème (ou le problème) là où ses structures de domination ont opprimé les femmes, et une solution là où la vision de la libération ou de l’égalité a généré des mouvements puissants pour l’évolution sociale[1]”.
Les hommes ont de l’autorité sur les femmes parce que Dieu les a créés supérieurs à celles-ci et parce qu’ils dépensent leur fortune pour subvenir à ses besoins. Les femmes de bien sont obéissantes ; elles gardent cachées leurs parties intimes car Dieu les a gardé cachées. Quant à celles qui se révoltent ou qui désobéissent, il faut les réprimander, les renvoyer seules à leur couche, et les BATTRE. Cependant, si elles obéissent, n’entreprenez plus d’action contre elles. Dieu est le chef suprême. - Sureh Nisa - 34
Ces assemblées comportent, entres autres, des rituels complexes de “nazr” (ou voeux), des réunions au cours des deux moins saints de ramzan et moharam, des cours normaux de Coran ainsi que des cérémonies commémoratives. Ces assemblées sont organisées sous l’initiative de personnes privées, la plupart du temps dans des domiciles ou dans des bâtiments religieux publics, l’animateur central étant une Femme prédicatrice qui dirige les activités.
Les faits sont plus ou moins connus : il est légalement interdit aux femmes de gouverner, d'agir en tant que juges et d'occuper des postes de direction en politique ; il leur est interdit de participer à de nombreuses activités sociales et économiques ; on leur interdit ou on les décourage d'occuper de nombreuses fonctions.
La politique cachée du relativisme culturel
Note de l'éditrice


Les femmes émigrées en Europe et en Amérique du Nord ont commencé à dénoncer depuis longtemps la mollesse dangereuse dont font preuve les pays hôtes en tolérant et en encourageant des lois, des coutumes et des pratiques oppressives importées de nos pays et de nos cultures - au nom de la tolérance, du respect de l'autre, du droit à la différence, de la parité de cultures ou de religions différentes, etc...
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