Nouvelles

20/3/2012

Deux femmes poursuivies pour homosexualité au Cameroun ont plaidé non coupable jeudi avant que leurs avocats ne demandent l’annulation de la procédure, a constaté un journaliste de l’AFP au Palais de justice à Ambam (sud).

Le président du tribunal de première instance d’Ambam (250 km de Yaoundé), ville frontalière du Gabon, a renvoyé le procès pour statuer sur la demande d’annulation de la procédure des avocats d’Esther, 29 ans, mère d’un enfant, et de Martine, 26 ans et mère de deux enfants.

13/3/2012

Les 8 Mars se suivent et se ressemblent pour la femme algérienne. Le combat pour ses droits et son émancipation bute sur de multiples obstacles. A l’approche des législatives, elle se retrouve  courtisée pas tous, y compris par ceux-là-mêmes qui ne croient pas à la nécessité de revoir le code de la famille.

6/3/2012

En Tunisie, en Egypte, en Libye, la conquête fulgurante du pouvoir par des mouvements islamistes, parrainés notamment par les pétromonarchies du Golfe, est sujette à suspicion. Le rapprochement avec l’Algérie est vite fait. L’implication du Qatar dans le soutien aux mouvements islamistes de tous bords (chiites ou sunnites, salafistes djihadistes ou Frères musulmans) ne date pas du Printemps arabe. Le nouveau code électoral et la loi sur les partis en Algérie ont sacrifié l’exigence de transparence des finances des formations politiques.

29/2/2012

La jeune fille de 23 ans a réussi à échapper à son agresseur qui essayait d'allumer son briquet après l'avoir aspergé d'essence.

29/2/2012

Les termes « mademoiselle » et autre « nom de jeune fille » sont officiellement appelés à disparaître des documents administratifs. Mais les associations restent vigilantes.

Mademoiselle, le début de la fin ? Nous posions la question il y a un mois. La réponse est claire aujourd'hui : c'est oui. Le terme « mademoiselle » va disparaître des documents administratifs.

20/2/2012

Sorti en salles le 1er février, Sur la planche est un film qu’on se doit nécessairement de voir quand on est engagé dans la lutte pour les droits des femmes, pour la première raison que certains de nos combats, à côté des leurs, ressemblent à de gentilles réunions Tupperware.

Car les quatre jeunes filles qui habitent cette pellicule se débattent sans relâche, simplement pour démontrer leur droit d’exister par elles-mêmes dans un monde où les hommes dirigent tout. Dans le Tanger que filme Leïla Kilani, pour une jeune femme non mariée qui a quitté sa campagne pour travailler en ville, survivre constitue en soit une certaine audace.

20/2/2012

Sorti en salles le 1er février, Sur la planche est un film qu’on se doit nécessairement de voir quand on est engagé dans la lutte pour les droits des femmes, pour la première raison que certains de nos combats, à côté des leurs, ressemblent à de gentilles réunions Tupperware.

Car les quatre jeunes filles qui habitent cette pellicule se débattent sans relâche, simplement pour démontrer leur droit d’exister par elles-mêmes dans un monde où les hommes dirigent tout. Dans le Tanger que filme Leïla Kilani, pour une jeune femme non mariée qui a quitté sa campagne pour travailler en ville, survivre constitue en soit une certaine audace.

20/2/2012

Lors des travaux, les participantes ont soutenu l’idée selon laquelle l’Ovif œuvrera à la “reconnaissance de toutes les femmes victimes de violence” et à “l’inscription de l’apport de la lutte des femmes dans la construction de la nation algérienne”.

L’Observatoire des violences faites aux femmes (Ovif) va se doter d’une “charte des principes”, qui sera rendue publique prochainement. Réunis vendredi à Alger, pour peaufiner le document, les membres de la nouvelle structure, créée à la suite d’agressions commises à l’encontre des femmes, particulièrement les attaques ciblant pour la seconde fois des travailleuses à Hassi-Messaoud (ville pétrolière du sud du pays), s’assument en tant que “féministes”.

25/1/2012

Avez-vous remarqué la soudaine disparition des femmes de ce paradoxal printemps arabe depuis qu'il a tourné au vert, la couleur de la victoire islamiste ? C'est à croire que le scénariste n'a prévu pour elles que les larmes, la douleur et les chants funèbres du dernier quart d'heure des despotes. Elles étaient pourtant très comme il faut sur les images des télévisions occidentales et conformes aux canons en vigueur concernant le port vestimentaire.