Dossier Articles

Les hommes ont de l’autorité sur les femmes parce que Dieu les a créés supérieurs à celles-ci et parce qu’ils dépensent leur fortune pour subvenir à ses besoins. Les femmes de bien sont obéissantes ; elles gardent cachées leurs parties intimes car Dieu les a gardé cachées. Quant à celles qui se révoltent ou qui désobéissent, il faut les réprimander, les renvoyer seules à leur couche, et les BATTRE. Cependant, si elles obéissent, n’entreprenez plus d’action contre elles. Dieu est le chef suprême. - Sureh Nisa - 34
Ces assemblées comportent, entres autres, des rituels complexes de “nazr” (ou voeux), des réunions au cours des deux moins saints de ramzan et moharam, des cours normaux de Coran ainsi que des cérémonies commémoratives. Ces assemblées sont organisées sous l’initiative de personnes privées, la plupart du temps dans des domiciles ou dans des bâtiments religieux publics, l’animateur central étant une Femme prédicatrice qui dirige les activités.
Cependant, M. Ramalingum n'a pas donné une image assez nette de la situation générale à l’Ile Maurice, ce qui est regrettable, car une bonne connaissance du contexte mènerait à une condamnation encore plus totale de toutes les attaques contre la liberté d'expression à l'Ile Maurice.
Les efforts de réforme initiés par les hommes en faveur des femmes furent stimulés par les progrès considérables réalisés par d'autres communautés en Inde et s'inspirèrent des changements intervenus dans des pays musulmans du Moyen-Orient. Dès le début du dix-neuvième siècle, le statut des femmes était devenu un sujet de préoccupation pour les réformateurs hindu des classes et des castes supérieures. Leurs premiers efforts furent dirigés contre certaines coutumes telles que le sati et les sanctions contre le remariage des veuves, qui étaient préjudiciables au statut des femmes.
Car le peuple Nord était méchant, affreux, il avait tous les vices (presque) - et il était né comme ça - telle était sa nature.

Aussi "ceux qui essayaient de se laver du péché originel" (une de leurs tribus) étaient-ils tristes car impuissants à changer la malédiction qui opérait potentiellement et siégeait ontologiquement en eux, même quand ils étaient très sages.
Liberté de la recherche académique

Le CHRLA est très inquiet du jugement prononcé par la Cour d'appel du Caire le 14 juin 1995, jugement ordonnant le divorce de Nasr Hamed Abu-Zeid (professeur à l'Université du Caire) et de son épouse, Dr Ibthal Younis. Selon ce jugement, Nasr Hamed Abu-Zeid s'est apostasié, vu les opinions qu'il exprime dans ses publications.
Le projet de loi (Private Member's Bill) du député Farida Rahman, portant sur une proposition d'amendement à la section V1 du décret sur le code de la famille musulman de 1961 a suscité beaucoup de discussions, en raison de son caractère peu conventionnel et controversé. Ce sont surtout des groupes de femmes activistes qui ont manifesté un grand intérêt. Le projet de loi pose toute la question des droits des femmes d'intérêt général. Nous publions donc aujourd'hui un article critique et serions heureuses de recevoir d'autres contributions, pour ou contre la motion.
Deux approches ordonnent l’attitude des censeurs :

1) en travaillant dans leur pays, et surtout dans les structures de l’Etat, ces hommes et ces femmes, journalistes, professeurs, directeurs d’écoles ou d’universités, avocats, médecins se sont mis au service d’un système brutalement répressif, injuste, corrompu. En acceptant d’être fonctionnaires, ils se sont rangés d’emblée dans la catégorie des ennemis du peuple ; leur élimination physique apparaît donc justifiable ;
En 1993, j'assistais à une cérémonie de danses accompagnées de transes, appelée "Benga", organisée par le seul groupe qui pratiquait encore ces danses dans la ville de Tebessa où je résidais alors[1]. Le groupe Tidjania de Tebessa est une branche résiduelle de la secte islamique africaine plus vaste qui pratiquait ces danses à des fins thérapeutiques, particulièrement pour exorciser les "mauvais esprits".
Nous nous engageons à rompre le silence qui couvre cette violence, à troubler le sommeil de ce monde qui accepte le silence et ferme les yeux sur la violence, à combattre cela ainsi que toutes formes de violence, aussi longtemps que nous vivrons, à créer une chaîne de solidarité avec tous ceux qui nous aident dans notre lutte à travers le monde, surtout dans le tiers-monde et plus particulièrement dans le monde arabe, afin de nous opposer à tous ceux qui usurpent nos droits au sein de la famille, au niveau des gouvernements arabes despotiques, des tendances politiques réactionnaires issues de
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